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Au regard d’une situation qui ne cesse de se détériorer et devant une catastrophe humanitaire avérée, le conseil de sécurité de l’ONU souhaite parvenir à la publication d’une résolution permettant l’envoi d’une force d’intervention. Les débats ne débouchant pas avec toute la célérité requise, il semblerait que la France se mette en posture d’agir seule depuis le pays voisin, dans lequel elle entretient depuis plus de 30 ans un contingent de maintien de la paix. L’Iristan est par ailleurs particulièrement actif dans cette zone et tente d’imposer sournoisement un « arc de domination » qui s’étende de sa capitale vers la Méditerranée en passant par la Syrak. Briser cette dynamique politique en Syrak serait donc un objectif stratégique qui serve les intérêts de tous et le bien commun, à commencer par la sauvegarde d’une population qui n’a rien demandé.
C’est donc depuis cette base avancée, qui pourrait servir de point de génération de Force, que la France pourrait lancer une expédition de vive force dans des délais assez brefs. Nos experts relatent que ce type d’opération est particulièrement risqué et requiert en conséquence une unité expéditionnaire de premier plan. Il se murmure donc du côté de l’hôtel de Brienne, où se situe le MINARMEES, que le R3F pourrait être engagé à brève échéance sur ce théâtre d’une violence peu commune.
C’est donc depuis cette base avancée, qui pourrait servir de point de génération de Force, que la France pourrait lancer une expédition de vive force dans des délais assez brefs. Nos experts relatent que ce type d’opération est particulièrement risqué et requiert en conséquence une unité expéditionnaire de premier plan. Il se murmure donc du côté de l’hôtel de Brienne, où se situe le MINARMEES, que le R3F pourrait être engagé à brève échéance sur ce théâtre d’une violence peu commune.
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